Si la mer monte programme 2024
Du Cotentin au littoral breton
Temps fort du festival 17-18-19 mai 2024
Exposition maison de la Pointe du 16 au 22 mai
Les Quat’Sardines y participent
Du Cotentin au littoral breton
Temps fort du festival 17-18-19 mai 2024
Exposition maison de la Pointe du 16 au 22 mai
Les Quat’Sardines y participent
Un rendez-vous en amont du festival Si la mer monte
dimanche 14 avril 2024 - 17h à Combrit
avec Denis Lacroix
avec Christian De Perthuis
Henri Rochou l’immortalise au XIXe siècle dans un tableau exposé au Capitol. Cette découpe s’en inspire
Paule de Viguier ( 1518 - 1610) très belle adolescente, Paule remet les clés de la ville de Toulouse au roi de France François 1er qui se serait écrié « oh la belle Paule ».
L’égérie et fierté de la cité occitane perd un enfant, dans sa douleur elle se consacre aux belles lettres et devient influente dans le monde des arts.
Une structure mère-enfant du CHU de Toulouse porte aujourd’hui son nom ainsi que plusieurs navires de la marine royale et nationale française qui pour honorer la Belle fait dériver le a de Paule vers un o ?!
Les navires affublés de ce nom de volatile ont semble-t-il un destin intéressant:
la première Belle poule transporta Benjamin Franklin ambassadeur des Amériques (et inventeur du paratonnerre ) durant la guerre d’indépendance. Elle se distinguera plus tard en combattant avec succès le navire anglais Aréthusa. Cette victoire fera porter à la cour de Marie-Antoinette la fameuse coiffure « à la belle poule » chignon surmonté d’une maquette !
La seconde Belle Poule sillonne l’océan indien et accoste les comptoirs de la Cie des Indes, elle s’acquitte de missions scientifiques et de son lot de relevés cartographiques, au retour vers la France elle attaque un convoi britannique mais perd la bataille.
La troisième construite en 1834 reste célèbre pour avoir ramené les cendres de Napoléon 1er de Saint-Hélène. La quatrième Belle Poule goélette morutière à hunier de 1931, le voilier-école de la Marine Nationale fait parfois escale à Concarneau .
Curieux usage que d’invoquer un gallinacé pour vanter la beauté et l’intelligence d’une femme … en ce XXIe siècle, en ce 8 mars redonnons-lui son A pour que de basse cour elle entre avec majesté dans la cour des Grandes dames.
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Ce marin du quatre-mâts barque Passat, grand voilier devenu musée après une carrière de vraquier puis de navire école a quitté l’atelier pour rejoindre les rives de la Trave fleuve du Schleswig-Holstein qui borde Lübeck.
Mon attachement aux ports du nord de l’Allemagne date de 1984, quand toute jeune j’ai pu assister à un congrès ICMM des musées maritimes. Tout à coup les lectures adolescentes prenaient vie, je situais les Buddenbrook et découvrais la riche austérité des villes hanséatiques.
Stefan Goes en vacances en Bretagne l’été dernier m’a demandé d’accompagner les 10 ans du festival Travejazz.
Le cadet aux belles moustaches sera porté sur les T-shirts des festivaliers.
une histoire de territoire, de voyages et de rencontres, une histoire de fil textile. Hier samedi 16 décembre, Françoise Kerjose de atelier Boem et moi-même présentions aux Quat'Sardines le lancement d'une collaboration qui a débuté fin 2022. La mise en relation par Sentier Côtier boutique en Ville Close à Concarneau nous a permis de proposer une première série de textile imprimé en linge de maison. De nouveaux graphismes pour la saison 23 s'avérant prometteurs, nous sommes en mesure en cette fin d'année d'évoluer vers le support 100% soie fabrication lyonnaise pour une collection intitulée "le fil d'une histoire", des foulards en précommande pour une diffusion courant février 2024.
L'émerveillement à chaque visite du musée de la Compagnie des Indes à Port-Louis a été le déclencheur d'une histoire en image, un périple de la côte ouest africaine aux îles des Caraïbes, des rives du Gujarat à la rivière des Perles où du comptoir de Canton les navires ramenaient à Lorient en Bretagne soieries, porcelaines et autres manufactures d'Extreme-Orient.
Nous souhaitons que cet embarquement vous fasse autant rêver en évocations, en couleurs, en partance vers une nouvelle année...
à partir du 19 décembre sur le site de la boutique
atelier-boem.fr
aux Quat'Sardines sont présentées les découpes papiers originales
La collection « Ce jour où » présente une série de récits où chaque auteur raconte un temps fort – une rencontre, une décision, une pensée – vécu comme un moment décisif, un moment de bascule.
Chaque récit donne lieu à une plaquette réalisée selon les procédés propres à la bibliophilie, soit une facture entièrement artisanale. Ainsi, leur confection est confiée aux bons soins de la SAIG, dernière imprimerie par presse typographique de France, qui compose avec les plombs rachetés à l’imprimerie nationale. En outre, les récits bénéficieront d’une illustration originale.
Une série spéciale Aviation sans frontières vient de paraître. Les plaques gravées des illustrations qui accompagnent les textes de Gérald Similowzki, Jean Claude Gérin, André Fournerat, Zoltàn Kovàcs, Gérard Feldzer côtoient désormais les trésors du cabinet de curiosités de l'atelier.
Avez vous remarqué la foultitude d'animaux et pas toujours marins qui aime à squatter l'atelier. On a croisé des ours arctiques, ceux plus bruns du nord américain, des oies de noël et des bernaches, des renards festifs, des castors montagnards, des espèces nocturnes diurnes bretonnes ou basques jusqu'à australiennes mais aussi des rives du Mississippi. Des drôlatiques, des endémiques, des domestiques, des astrologiques... Du moment qu'ils soient graphiques, mais ne le deviennent-ils pas sous un œil amusé ?
au faciès étrangement ressemblant... au peintre. Humour et fantaisie d'Herve Gloux s'inventant un ascendant flibustier, avec une devise Ar lezenn dre ar bouc'hal la loi par la hache, aux intentions très peu pacifiques , qui rappelle neanmoins les armoiries de la cité de Konk kerne : trois haches d'armes de gueules posées en pal et rangées en fasce (Armoiries des villes de Bretagne, Michel Froger). La signature dont le sens m'échappe encore devait cacher une autre drôlerie.
Une huile sur Isorel de grand format qui enfant me fascinait puisque j'ai vu bâtir le personnage alors aussi grand que moi en 1975. Le marin hautement décoré et certainement anobli garde ceintres et manteaux en fond de placard.